Éveiller les passions des jeunes grâce à l’éducation par l’apprentissage expérientiel

Design environnemental

Environmental Design

NB : Les textes publiés dans la galerie virtuelle, accompagnant les œuvres, ont été produits par les élèves et retranscrits ici fidèlement. Il est donc possible d’y retrouver parfois quelques fautes d’orthographe. Merci de votre compréhension.

France

Collège Jean-Zay

Maisonmotion
Un projet fièrement réalisé par les classes de 6e3 et de 6e 5 au Collège Jean Zay à Cenont, sous la supervision de Jennifer Boumlik, accompagnés par leur coordonnateur de projet Alexander Loubarty. Nous tenons également à souligner l'implication de Anthony Carlier, mentor, pour ses conseils judicieux.

Maisonmotion

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  • ÉcoleSchoolCollège Jean-Zay
  • Centre de servicesSchool authorityAcadémie de Bordeaux
  • RégionRegionNouvelle-Aquitaine
  • CohorteCohort2020-2021
  • Sensibilité au contexte
Notre contexte

Nous sommes les classes de 6e3 et de 6e 5 au Collège Jean Zay à Cenon. Notre collège est situé en face d’une rame de tramway abritée d’un préau repeint et coloré. 

Le lieu ciblé de notre projet est une salle inutilisée dans l’établissement. 

Le projet a pour but de transformer cette pièce en espace de calme afin que tous les élèves puissent s’exprimer émotionnellement s’ils le désirent lorsque ça ne va pas. 

Nous avons repéré des trous dans le plafond et les murs, un manque d’ambiance et une forte luminosité, ainsi qu’une couleur beige très commune au reste du bâtiment. 

Pour pallier les problèmes, nous avons décidé de remplacer la couleur de la pièce et la meubler pour rendre le lieu plus détendu et créer une ambiance. 

Dans cette même pièce, il y avait auparavant des tableaux, que les élèves pouvaient garder. Nous sommes allés chercher plus loin pour avoir un tableau mural aimanté de plusieurs mètres afin que nous puissions nous exprimer au mieux. 

Sur le mur le plus grand, un collant d’arbre sera posé avec des cadres intégrés pour qu’on puisse y ajouter des photos, des images ou des tableaux de lettres (letterboard) exprimant nos émotions actuelles.

Notre projet 

Au début du projet, nous avions des idées folles, comme refaire l’éclairage ou changer le sol et les murs. Nous voulions même changer une fenêtre opaque donnant sur un couloir. 

Nous voulions vraiment donner une ambiance détente, mais les changements étaient bien trop grands ! 

Notre projet sera ainsi la création d’un espace de calme et d’expressions pour les élèves !

Notre parcours 

Il y avait beaucoup d’idées de notre part et c’était difficile de faire des choix ! Nous avons donc fait des plans sur le tableau en posant des conditions sur ce que l’on voulait vraiment. 

Nous avions pensé à du papier peint même, mais nous avons préféré rester sur quelque chose de simple.  

Nous n’avons pas eu d’inspiration particulière. Nous avons principalement pensé à ce que nous préférions ou à ce qui nous permettrait de nous détendre. Après cela, nous avons adapté nos idées et fait des choix en regardant diverses images sur internet. 

Notre atelier préféré a été celui sur la pâte à modeler : chaque équipe de deux partageait un pot de couleurs différentes et devait l’utiliser pour créer des meubles imaginés et dessinés sur un plan pendant la séance précédente. 

Cet atelier demandait de savoir manipuler la pâte à modeler, mais aussi d’avoir un peu le sens de l’échelle pour que tous les meubles entrent sur la feuille. C’était une activité très amusante, même si elle a été difficile pour construire des tables ou étagères.

Collège Paul-Froment

La Cour au vert
Un projet fièrement réalisé par la classe d’unité pédagogique pour élèves allophones (UPE2A) dans le collège Paul Froment, sous la supervision de Christelle Descamps, Moussa Kadour, Nadine Marocki et Camille Turcat., Accompagnés par leur coordonnateur de projet Alexander Loubarty. Nous tenons également à souligner l'implication de Florian Préault, mentor, pour ses conseils judicieux.

La Cour au vert

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  • ÉcoleSchoolCollège Paul-Froment
  • Centre de servicesSchool authorityAcadémie de Bordeaux
  • RégionRegionNouvelle-Aquitaine
  • CohorteCohort2020-2021
  • Sensibilité au contexte
Notre contexte 

Nous sommes la classe d’unité pédagogique pour élèves allophones (UPE2A) dans le collège Paul Froment à Sainte-Livrade dans le Lot-et-Garonne. 

Nous sommes une classe d’élèves encore en cours d’apprentissage du français. 

La première problématique que nous avons observée est le manque de végétation dans la cour. 

Sur les lieux, il y a de la terre, pas d’herbe, beaucoup de boue lorsqu’il pleut et du gravier se disperse dans toute la cour. Cela qui n’aide pas à rendre l’entrée plus accueillante et c’est sur ça que nous nous sommes arrêtés. 

L’entrée serait le lieu à travailler.

Notre projet 

Quand nous avons pensé le projet, nous avions l’idée de faire un nouveau préau, de mettre du gazon synthétique, des pas japonais. 

Beaucoup des idées étaient coûteuses ou alors, nous perdions l’intérêt de « vert » ! Nous décririons le projet comme l’aménagement vert d’une cour où l’on peut s’asseoir. 

L’objectif du projet est d’avoir une entrée à l’école plus accueillante, avec la proposition pour avoir des dalles stabilisatrices. Nous éviterions la boue sur les chaussures en temps de pluie et l’éparpillement des graviers dans toute la cour.

Notre parcours 

Les difficultés sont souvent présentes, puisqu’il y a des camarades très jeunes qui sont en apprentissage du français. 

Nous faisons face à cette difficulté avec plus d’activités manuelles que d’activités qu’orales ou écrites. 

Ce qui nous a aidés dans la recherche, c’est surtout lorsque nous avons commencé à chercher des images de références, ou en proposant des idées un peu folles. Nous avons aussi été accompagnés par un mentor et nous avons fait une maquette en carton.  

Notre atelier préféré est sans doute d’ailleurs la création de la maquette en carton. Cette activité est celle qui nous a demandé le plus de temps puisqu’elle devait être à l’échelle. C’est la partie où nous avons été le plus mis en difficulté puisque nos idées et designs précédents du projet devaient prendre vie en 3D, et ce en grandeur réelle de la construction. Nous avons aussi dû choisir des couleurs.

Lycée Jacques de Romas (Nérac)

Abribus
Un projet fièrement réalisé par la classe de 1er de soin et service à la personne du Lycée Jacques de Romas, sous la supervision de Mme Joli et Mme Riffiod et accompagnés par leur coordonnateur de projet Alexander Loubarty.

Abribus

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  • ÉcoleSchoolLycée Jacques de Romas (Nérac)
  • Centre de servicesSchool authorityAcadémie de Bordeaux
  • RégionRegionNouvelle-Aquitaine
  • CohorteCohort2020-2021
  • Sensibilité au contexte
Notre contexte

Nous sommes la classe de 1er de soin et service à la personne du Lycée Jacques de Romas. 

Nous sommes sur une colline avec un grand trottoir à l’entrée de l’école, un stationnement de voitures en face et un stationnement pour les bus sur la droite. 

Le problème que nous avons noté est le manque d’abri pour nous protéger des intempéries lorsque nous attendons le bus à la sortie de l’établissement.

Notre projet 

L’idée était déjà claire lorsque nous sommes arrivés, donc nous n’avons pas eu d’idée folle et nous sommes restés concentrés sur l’abri. Le peindre nous est venu à l’esprit, mais le toit devait rester transparent et les couleurs sur du métal ne rendraient sans doute pas bien. 

Nous décririons le projet simplement par la construction d’un abribus pour après la sortie des cours. 

Il nous permettra d’attendre protégés des intempéries à l’extérieur de l’établissement. Les fumeurs pourront fumer à l’extérieur, c’est d’ailleurs pourquoi ce projet d’abri fonctionne en parallèle d’un projet pour installer des bornes pour le recyclage des mégots. 

Notre parcours 

Une grande difficulté a été les stages, qui font que l’on ne se voit pas souvent pour l’avancement du projet. C’était difficile. 

Nous avons pensé le projet en ayant une préparation ultérieure sur ce que nous voulions faire, mais aussi avec des activités plus courtes. 

Le montage de la maquette a été l’atelier préféré, elle demandait tout ce que nous avions réuni en termes de mesures pour poser en 3D. 

Lycée Val-de-Garonne (Marmande)

ColoPréau
Un projet fièrement réalisé par 2d 7 et du pôle d’accompagnement à la persévérance scolaire (P.A.P.S), sous la supervision de Michèle Garcia, Éloïse Petithomme Fouquet et Carole Ragagnin, accompagnés par leur coordonnateur de projet Alexander Loubarty. Nous tenons également à souligner l'implication de Mickaele Delamé, mentor, pour ses conseils judicieux.

ColoPréau

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  • ÉcoleSchoolLycée Val-de-Garonne (Marmande)
  • Centre de servicesSchool authorityAcadémie de Bordeaux
  • RégionRegionNouvelle-Aquitaine
  • CohorteCohort2020-2021
  • Design innovant
NOTRE CONTEXTE

Nous sommes les classes de 2d 7 et du pôle d’accompagnement à la persévérance scolaire (P.A.P.S). Nous sommes deux classes situées dans des bâtiments différents réunies pour mener le projet Fusion Jeunesse. Nous sommes situés dans le Sud Ouest de la France, à Marmande, qui héberge le Garorock, un grand festival où le fleuve Garonne traverse la ville. 

Val de Garonne est un grand établissement composé de plus de 1 300 élèves. De ce fait, l’école est très grande et possède quelques défauts. Les vieux bancs en métal qui ont mal vieillis ou des arbres qui débordent sur les chemins de goudron et déforment la voie donnent légèrement un effet chaotique à la cour. 

Nous avons finalement décidé de nous arrêter sur le préau, lieu de passages fréquents, utile pour son ombre en été ou pour se protéger de la pluie. Il est malheureusement victime d’un manque de couleur, malgré ses poteaux rouges et jaunes, car le plafond du préau est blanc. Cela rend le préau vide, lorsqu’on lève la tête, le préau semble très grand et morne. 

Notre projet

Lorsque nous avons commencé le projet, après les premières analyses, nous avons commencé à séparer les parties de la cour. Nous avions des idées de projets pour deux parties de la cour. Pour le petit « parc », nous aurions aimé y mettre des bancs, des pots de fleurs, un petit toit et des tables. Pour le préau, nous imagions ajouter du verre sur le plafond, faire des dessins sur le plafond et au sol, jouer avec des illusions d’optique. Après réflexion, nous avons décidé qu’avec le temps que nous avions, il était préférable de travailler plus sous le préau. 

Pour décrire notre projet simplement, nous aménageons le plafond du préau de fresques faites par les élèves afin de le rendre plus vivant ! 

Notre parcours 

Un défi majeur a été le manque de temps. À cause de la situation actuelle, nous avons raté plusieurs de séances. Nous nous sommes aussi retrouvés avec qu’une moitié des élèves des secondes 7, et donc moins de participants au projet. 

Comme il nous était très difficile de pouvoirs procéder à toutes les étapes de réalisations du projet, nous avons choisis nous-mêmes les designs. Nous nous sommes inspirés des personnages de Keith Haring et de divers éléments de références de pop culture ou d’éléments de voyages. Notre mentor nous aura beaucoup aidés à poser nos designs sur le support sélectionné pour que nous soyons prêts à commencer à peindre dès la reprise des séances. 

Québec

Collège de Sèvres (Ville-d'Avray)

Terranova
Un projet fièrement réalisé par les élèves de secondaire 5 de la classe de Mme Zahra Nacer, accompagnés par leur coordonnateur de projet Alexandre Henry. Nous tenons également à souligner l'implication de Luc Gillen en tant que mentor.

Terranova

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  • ÉcoleSchoolCollège de Sèvres (Ville-d'Avray)
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Coup de coeur de Siena Blier
Notre contexte

Notre équipe est composée de 29 élèves de 5ème du secondaire, de l’Académie de Roberval, située dans le quartier de Villeray—Saint-Michel—Parc-Extension. Nous avons identifié plusieurs problématiques axées sur l’ambiance de la cour, telle que l’entrée peu accueillante, un manque de luminosité dans la cour et un manque de couleur. Nous avons aussi ressenti un besoin de verdure, de plantes, de fleurs et de jardins. Certains ont remarqué un besoin pour des tables, des bancs, une aire de repos ou même un aménagement convenable aux quatre saisons. Pour finir, les problématiques du manque de station de triage de déchets, du besoin d’un endroit pour s’entrainer et d’un rack à vélo sont aussi ressorties.

À la suite de notre consultation publique, consistant en un sondage sur internet avec l’ensemble des élèves de l’école, les problématiques sélectionnées et les plus populaires sont le manque de couleur, les besoins en végétation (verdure, plantes, fleurs, jardins), les besoins en mobilier (tables, bancs, aire de repos) et un système de tri des déchets.  

Notre projet

Nos idées folles du début du projet ont entre autres été la plantation d’arbres fruitiers, l’ajout de barres de tractions ou la construction d’une table en pierre. En revanche, toutes ces idées avaient des composantes semblables ; des bancs, des tables et de la végétation.  

Finalement, notre projet sera composé de plusieurs bancs jardinières avec des fleurs en arrière, de plusieurs tables de pique-nique et d’un système de tri. Le projet va apporter de la verdure, des bancs et des tables et ainsi développer une aire de repos coloré avec plusieurs variétés de plantes. Notre projet est attrayant par le fait d’apporter une importance rare au recyclage dans le cadre d’une école ! Non seulement notre système de tri améliorera la gestion des déchets, mais les sièges et dossiers de nos bancs-jardinières tout en un seront faits de planches en plastique recyclé, faites au Québec. 

NOTRE PARCOURS

Pendant la phase d’idéation, nous avons appris à utiliser des logiciels de modélisation pour visualiser le projet en 3D sur l’ordinateur. Nous avons beaucoup apprécié utiliser TinkerCad et Sketchup. Un autre moment que nous avons adoré était la confection de maquette durant la phase de conception du projet.

Nous avons parfois éprouvé de la difficulté avec la conversion des mesures (les pieds ou les pouces en centimètre) sans l’aide de l’ordinateur. 

Nous avons fait des multiples recherches sur internet. Nous avons aussi beaucoup aimé analyser les exemples d’aménagement que notre coordonnateur Alexandre ajoutait à ses présentations ou les projets des années passées de Fusion Jeunesse.  

École primaire Charles-Bruneau

Au jeu ! Et Le rêve d’enfant
Un projet fièrement réalisé par les élèves de l'école Charles-Bruneau, sous la supervision de Kim Blundell et Elsa Sévigny, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Naomie Gauvreau.

Au jeu ! Et Le rêve d’enfant

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Charles-Bruneau
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Sensibilité au contexte
Notre contexte

Nous sommes quatre groupes travaillant sur deux projets simultanément ayant lieu à l’école Charles-Bruneau. Les groupes de troisième cycle 3A et 3B travaillent à construire une arène de Gagaball, un sport de ballon qui se joue dans une arène octogonale. Nous avons choisi de construire cette arène dans la cour de récréation de l’école, mais de la rendre mobile afin de pouvoir la déplacer et la ranger plus facilement. Nous avons choisi de faire cette arène afin de diversifier les jeux possibles à la récréation tout en faisant la promotion des activités physiques. Le groupe 2B et le groupe 3C, formant une quinzaine d’élèves aussi, travaillent sur un projet de murale participative situé à l’intérieur de l’école. Nous avons choisi de peindre une murale participative afin de colorer l’école et de dynamiser le parcours de tous. Afin que le projet touche le plus grand nombre possible, nous avons positionné la murale dans le corridor principal, tout près de l’entrée. De cette façon, nous pouvons le voir chaque fois que nous sortons pour la récréation.

NOTRE PROJET

Nous avons commencé le projet en sachant déjà que nous voulions faire une arène de Gagaball. Nous avions déjà joué, mais pas dans une arène : on avait construit une fausse arène avec des tables attachées ensemble, mais ce n’était pas très pratique. Comme nous avions beaucoup aimé cette activité, Elsa a proposé de construire une arène pour ce projet. Nous pensons que le projet va amener de beaux moments à la récréation et pendant le mois de l’activité physique. Nous avons hâte d’apprendre aux autres groupes les règlements, parce que nous avons remarqué, pendant l’analyse de l’environnement, que certains groupes ne connaissaient pas le Gagaball ! Pour la murale participative, nous voulions aussi dès le départ créer ce type de projet. Nous avons toutefois exploré plusieurs thèmes, qui allaient dans toutes les directions. De plus, le choix de l’emplacement a été laborieux : voulions-nous la placer à l’intérieur, à l’extérieur, dans l’escalier ? Nous sommes parvenus à un consensus permettant une marge de manœuvre : le choix du thème du rêve d’enfant nous permet de toucher à une variété plus grande de sujets !

NOTRE PARCOURS

Nous avions très hâte de commencer la construction, alors nous avons trouvé difficile de passer chacune des étapes de conception, mais nous avons quand même appris plein de choses. Nous avons beaucoup aimé l’atelier sur la manipulation des outils, même si la plupart d’entre nous avaient déjà utilisé une perceuse. Certains autres n’en avaient jamais utilisé, alors ça a été une belle découverte ! Ce n’est pas le seul atelier ou nous avons fait des choses pour la première fois. Lorsque nous avons fait l’annonce des résultats de la consultation publique, c’était la première fois que certains d’entre nous faisaient des affiches, et nous sommes très fiers des résultats ! Pour les deux groupes travaillant sur la murale, il a été difficile d’apprendre à être patients, parce que nous avions très hâte de commencer à peindre la murale. Cependant, notre coordonnatrice Naomie nous a bien expliqué que la planification est très importante pour avoir un meilleur projet. Nous avons beaucoup aimé travailler sur l’idéation, parce que nous sommes des élèves très créatifs. C’était parfois difficile de rester réalistes parce que nous avons une imagination débordante et que nous voulions avoir une murale parfaite ! Les ateliers sur la couleur nous ont beaucoup plu, et nous avons appris plein de choses sur la symbolique de celles-ci.

École primaire Charles-Lemoyne

Abracada-cube
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 5e et 6e année des classes de Sylvette Mallet, Isabelle Lauzier, Chantal Paris, Kevin Martin-Sousas et Mireil Beaudoin, accompagnés par leur coordonnateur de projet Joshua Wolinski.

Abracada-cube

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  • ÉquipeTeamUn projet fièrement réalisé par les élèves de 5e et 6e année des classes de Sylvette Mallet, Isabelle Lauzier, Chantal Paris, Kevin Martin-Sousas et Mireil Beaudoin, accompagnés par leur coordonnateur de projet Joshua Wolinski.
  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Charles-Lemoyne
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Coup de coeur de Patrica Letarte
NOTRE CONTEXTE

Les classes de l’école Charles Lemoyne sont en train d’être divisées en deux afin d’en accueillir plus d’élèves. Un manque d’espace et une perte de coins de détente se font ressentir dans nos classes. Le manque de rangement devient aussi une problématique.

NOTRE PROJET

Nos quatre classes de 5e et 6e année avons fait face à de nombreux défis avant d’arriver au projet final.  

La problématique était claire, mais nous étions bloqués sur la manière de concevoir ces espaces et ces rangements. Certains voulaient des cloisons pour créer un véritable espace tandis que d’autres voulaient du rangement. 

Afin de pallier à ce manque d’espace, nous avons décidé de concevoir différents modèles de cubes. Ces cubes sont facilement déplaçables et empilables. Ils permettent donc la création d’espace de détente provisoire tout en apportant des solutions de rangement et d’assise.

Notre parcours

Après avoir peinturé les portes des classes, nous avons débattu de toutes les problématiques liées à l’espace et au rangement. Nous avons donc compris qu’il fallait du mobilier capable de créer un espace sans en occuper beaucoup ou inutilement lorsque ce dernier ne serait pas utilisé. Nous avons conçu un mobilier simple à construire étant donné la quantité dont nous aurions besoin. Simplifier cette construction permet également de faciliter la tâche si nous avons besoin de réparer des cubes dans le futur. 

Avant de commencer à concevoir le mobilier, nous avons dû faire les plans des classes. Il a été difficile de comprendre les relations d’échelles et les nombreux calculs du budget. 

Notre coordonnateur Joshua et nos professeurs ont conçu des prototypes que nous avons assemblés en classe. Nous avons donc pu comprendre comment fabriquer les cubes et déterminer les points positifs et négatifs de chaque modèle. 

Nous avons retenu cinq modèles de cubes de différentes tailles et différents types de rangement. La construction nous a semblé très simple : percer, assembler, visser, poncer. Par la suite, nous pourrons décorer les cubes avec de la peinture. Grâce à ce projet, nous avons pu découvrir les techniques de conception utilisées pour tout projet de design. Nous avons également été initiés au travail du bois et de la peinture.

La cabane des rêves
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 4e, 5e et 6e année des classes de Robby Danis, Roxanne Fournier-Leduc, Fidji Santerre et Philippe Caron-Perras, accompagnés par leur coordonnateur de projet Édouard Gendron. Nous tenons également à souligner l'implication de Stéphanie Alberola en tant que mentore.

La cabane des rêves

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Charles-Lemoyne
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Design Innovant
Notre contexte 

Nous sommes un groupe de quatre classes du volet alternatif de l’école Charles-Lemoyne, située dans le quartier de Pointe Saint-Charles à Montréal. Nous sommes des 4e, 5e et 6e années et nous avons beaucoup d’imagination pour trouver des idées pour embellir nos classes. 

Notre école est une ancienne école secondaire. Les classes sont énormes, mais l’école est tout en béton et elle manque de couleurs et de décoration. 

Dans le volet alternatif, nous travaillons souvent sur différentes choses au même moment dans la classe. C’est parfois très dérangeant puisque l’on entend tout le monde dans la classe et certains font des activités plus bruyantes que d’autres. Nous voudrions ajouter un coin calme dans la classe pour ceux qui veulent pratiquer des activités sans se faire déranger.

Notre projet

Au départ, nous avions eu l’idée de profiter de la hauteur de la classe pour fabriquer un deuxième étage. Par contre, Édouard notre coordonnateur nous a dit que ce serait beaucoup trop ambitieux.  

Finalement, nous construisons une sorte de cabane qui servira d’espace plus privé dans la classe. Il y aura une cabane dans chacune des quatre classes, elles seront toutes décorées selon un thème que nous choisirons. Les cabanes auront aussi certains ajouts d’utilités, comme des bureaux ou des rangements, par exemple.  

Notre projet va beaucoup améliorer nos classes autant parce qu’il sera beau et décoratif, que parce qu’il nous aidera à nous organiser dans nos activités quotidiennes. Nous visons aussi à intégrer le plus de plantes possible au projet pour amener de la végétation à l’intérieur.

Notre parcours 

Nous avons commencé le projet en janvier. Nous devions donc arriver à réaliser le projet en seulement cinq mois. Nous devions donc rapidement apprendre les théories du design tout en travaillant sur notre projet.  

Une autre situation difficile était d’être quatre groupes participants au projet, soit 60 jeunes et 4 professeurs. Il était donc parfois difficile d’inclure toutes les idées au projet. Nous avons donc appris à évaluer la valeur des idées, par rapport au projet et à notre budget. Parfois, il faut laisser les idées plus farfelues de côté pour se concentrer à bien réaliser nos idées plus simples !  

Au début du projet, nous voulions créer une terrasse surélevée, comme un deuxième étage dans la classe. Par contre, nous avons appris que la commission scolaire avait des règles concernant les risques de chutes.  

Nos ateliers préférés ont été la création de mood board, la compétition de design d’avions en papier et les activités de modélisation à l’ordinateur. Grâce à ces activités, nous avons appris à travailler en équipe, utiliser notre temps efficacement, nous inspirer d’images sur Internet et utiliser des logiciels de dessin à l’ordinateur. 

École primaire Élan

La Jungle De Lorimier
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 5e et 6e année des classes de Marie-Josée Latour et Corinne Chaput, accompagnés par leur coordonnateur de projet Hugo Lapointe-Samuel. Nous tenons également à souligner l'implication de Lambert Rainville en tant que mentor.

La Jungle De Lorimier

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Élan
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Démarche exemplaire
Notre contexte 

Nous sommes les classes de 5 et 6e année de l’école primaire alternative Élan. Nous sommes très dynamiques et avons une envie constante d’apprendre de nouvelles choses. Nous voulons redonner vie à nos classes qui sont un peu froides. Dans notre contexte, la classe est l’endroit où nous passons le plus de temps et maintenant, on a la chance de se l’approprier pour la mettre à notre image. Nous voulons avoir plus de plantes dans nos classes parce que c’est plus beau et nous pourrions nous en occuper et les mettre en valeur dans des installations faites par nous. De plus, l’éclairage des classes est plutôt fort et froid donc nous voulons le retravailler afin de rendre nos classes plus chaleureuses.

Notre projet 

Au tout début du projet, nous avions un mot en tête : chaleureux. Nous avions dès le départ cette envie de redonner vie à nos classes afin que celles-ci soient plus accueillantes et deviennent un lieu d’harmonie pour la concentration, l’apprentissage ainsi que l’implication. Nous avons même parfois eu l’idée d’installer un jacuzzi dans l’une des classes, mais par faute de budget nous avons dû abandonner l’idée. C’est pourquoi la majorité du projet consiste à améliorer l’éclairage des classes pour le rendre plus chaud en couleurs ainsi que l’ajout de beaucoup de végétation pour rendre les classes plus vivantes. Dans toutes ces petites spécificités, le projet va donc grandement améliorer l’allure des classes ainsi que la manière dont nous nous sentons dans celles-ci. Même si certains d’entre nous sont en 6e et donc n’auront pas le temps d’en profiter au maximum, c’est tout de même un projet duquel nous serons fiers avec tous les apprentissages que nous aurons faits.

Notre parcours 

La situation de la COVID-19 a rendu tout très difficile. Nous croyons par contre que la période la plus difficile a été lorsque nous devions faire les ateliers de design en ligne sans qu’Hugo puisse dessiner avec nous et nous aider à développer nos idées aussi facilement qu’il le fait d’habitude. Ça nous a peut-être ralentis un peu, mais Hugo avait déjà organisé des équipes de travail donc il pouvait nous rencontrer devant la caméra équipe par équipe.  

Pour notre projet, nous nous sommes inspirés de design de chambres que nous avons vu sur internet ainsi que nos propres chambres puisque c’est un endroit où l’on se sent bien. Le défi était cependant de l’adapter à l’échelle de la classe. À travers les différents ateliers, nous avons participé à un concours sur l’économie organisé par l’AMF. Nous avons parlé de la tirelire dans nos classes et de son utilité d’épargne. Ensuite, lors de l’atelier thématique, nous avons travaillé en charrette de design afin de réaliser une tirelire en matériaux recyclés en 50 minutes de A à Z. C’était très amusant étant donné le cours laps de temps alloué et nous pouvions imaginer et construire sans penser au projet principal comme à l’habitude. Ça nous a également permis de nous échauffer pour la création de maquettes propres à notre projet avec Hugo.

École primaire FACE

ParARTvent
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 6e année des classes d'arts plastique de Mme Sylvie Simard, accompagnés par leur coordonnateur de projet Jérémy Lachance-Tremblay.

ParARTvent

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire FACE
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Ouverture à la communauté
Notre contexte

Nous sommes les trois classes de 6e année du primaire de l’école à vocation artistique FACE. Très dynamiques, nous mettons beaucoup d’énergie à apprendre à travers nos créations, mais aussi améliorer notre école. 

Les arts occupent une grande place au sein de notre éducation. C’est ce qui ajoute de la couleur et du reflet à l’école et c’est pour ça qu’elle se démarque des autres écoles. 

Notre école est une place pour apprendre et spécialement pour utiliser notre créativité afin d’inspirer les autres élèves. Actuellement, les œuvres sont exposées dans les corridors, on en voit partout et c’est joyeux. Nous aimerions pouvoir continuer à ajouter des couleurs et de la valeur à notre école en exposant nos œuvres dans les endroits qui n’en possèdent pas.

Notre projet

Après avoir analysé notre environnement, nous avons pu établir plusieurs critères afin de nous guider dans l’idéation, qui a fait place à plusieurs idées parfois farfelues. Nous avons imaginé, par exemple, des projets qui sortent d’un livre lorsqu’on tourne les pages de celui-ci et même un tunnel immersif pour guider les spectateurs dans un labyrinthe d’œuvres. Bien sûr, nous avons dû faire des choix plus réalistes par la suite, mais cela ne nous a pas empêchés de nous amuser. 

Notre projet consiste à créer un paravent avec trois panneaux qui va servir à exposer les œuvres que les élèves vont réaliser. Celui-ci sera capable de se transformer pour pouvoir exposer des œuvres en 2D comme des peintures, mais aussi des œuvres en 3D comme des sculptures. 

Nous trouvons que les œuvres affichées sur les murs et pupitres réalisées par les élèves de toutes les années démontrent une compétence artistique très libre et colorée. Elles sont amusantes à admirer et s’inspirer et nous ferons autant d’effort pour qu’elles soient exposées avec la même quantité d’énergie que l’artiste qui les a créées afin de les exposer de la bonne façon.

notre parcours

Même si pour nous la création est un acquis, nous avons eu quelques difficultés lorsque nous devions réfléchir à comment assembler les différentes pièces du projet. C’était difficile parce qu’on n’avait jamais fait ça auparavant. On s’en est finalement bien sortie en réalisant des maquettes plus techniques qui nous ont permis de faire des essais et d’apprendre de nos erreurs. 

Parce que nous voulions créer un projet unique, nous nous sommes inspirés des caractéristiques et qualités d’objets de notre entourage afin de les unir en un assemblage merveilleux. Par exemple, nous nous sommes inspirés de la flexibilité du paravent auquel nous avons ajouté du liège comme les babillards afin d’y accrocher les œuvres.  

Tout au long du projet, nous avons réalisé différents types de maquettes afin d’apprendre, de communiquer, de réfléchir, mais surtout de visualiser nos idées. Chacune d’entre elles nous rapprochait du résultat final, c’était plaisant de voir le projet se concrétiser. Aussi, elles nous permettaient d’avoir un contact avec les autres groupes que nous ne pouvions pas voir et de cette manière, nous pouvions échanger nos idées.

École primaire Guillaume-Couture

L’insectarium
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 5e année de la classe de Mme Katianne Beaudry, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Gaëlle Guillaume.

L’insectarium

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Guillaume-Couture
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Sensibilité au contexte
NOTRE CONTEXTE

Nous sommes la classe 5D de l’école Guillaume-Couture et notre enseignante est Mme Katianne. Nous sommes une classe très active de 8 filles et 10 garçons qui aiment les sports et être à l’extérieur. Bien que l’on parle beaucoup, nous sommes des élèves curieux d’apprendre sur notre école et même notre quartier : Mercier Hochelaga Maisonneuve.  

Cette année, les problématiques qui sont présentes dans la zone sont le déclin de la biodiversité et le manque de sentiment d’appartenance puisque cet espace de la cour n’est pas assez vivant et dynamique. 

NOTRE PROJET

Dès le départ, nous savions qu’il fallait faire un projet avec l’hôtel à insectes, mais il fallait l’accompagner d’autres choses. C’est ainsi que nous avons eu toutes sortes d’idées folles comme avoir un bassin servant de fontaine pour les animaux ou étendre les modules d’école jusqu’à la zone B. Nous nous sommes finalement arrêtés à la création d’un hôtel à insectes, de bacs à fleurs, de mangeoires à oiseaux et de bancs de bois. Nous croyons que notre projet va permettre de rendre cette zone, en particulier, plus intéressante en faisant attention à laisser de l’espace aux maternelles pour qu’ils s’amusent.   

NOTRE PARCOURS

Un défi que nous avons rencontré est le changement de classe en personne pour les classes en ligne. Il était difficile d’avancer notre projet à distance, mais nous avons réussi ! Pour l’insectarium, nous nous sommes beaucoup inspirés des parcs de notre quartier pour garder l’esprit de nature.  

Notre atelier préféré était sans doute le tournage de notre consultation publique ! Nous avons travaillé fort pour faire de bons textes, ne pas parler trop vite et essayer de ne pas rire devant la caméra.

École primaire Hélène-Boullé

Le Coin Câché Hélène Boullé
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 5e année des classes de Capucine Le Cornec, Louis-Simon Bourbonnais et Philippe Verreault, accompagnés par leurs coordonnatrices de projet Sarah El Debs et Lindsey Weller. Nous tenons également à souligner l'implication de Andrée-Anne Théoret en tant que mentore et la collaboration de Sophia Khmil et Vincent Vandenbrouck, de la firme Castor & Pollux, dans le cadre du concours Unir la relève.

Le Coin Câché Hélène Boullé

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Hélène-Boullé
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Coup de coeur de Marc-André Carignan
Notre contexte 

Nous sommes une grande équipe de 3 classes de 5ème et 6ème année à l'école Hélène-Boullé , et nous travaillons tous ensemble sur le projet Fusion Jeunesse. Chaque classe a passé du temps à se concentrer sur un aspect différent du projet. Notre quartier, Villeray, est actif et rempli de joie, de ruelles vertes, de magasins et de restaurants. Le parc Jarry est la plaque tournante du quartier avec son skate-park, ses modules de jeux, sa bibliothèque, sa piscine et plein de terrain libre.  

Le terrain manque de la verdure, du couleur, et de l’ombrage. Notre projet fournira des endroits tranquilles pour mieux reposer, et qui offre un soulagement du soleil, au même temps le projet nous donnerons beaucoup plus de couleur!

notre projet

Il y a eu plein d’idées folles! Par exemple, au début, on voulait faire une piscine de ballons, un lac de chocolat, une cabane dans les arbres, une station spatiale et même une discothèque pour enfants seulement! 

Finalement, notre projet est de créé un module dans notre cours d’école vide et plate. Notre aménagement sera donc coloré, ombragé, avec beaucoup de places assises et de végétation.  

Dans la classe 5A, avec M. Louis Simon, nous avons travaillé sur des idées pour le toit en plexiglas coloré, la taille de la pergola et l'emplacement des barils de récupération d’eau de pluie qui alimenterons notre nouveau jardin. Notre classe est amusante, motivée et nous aimons les problématiques complexes.   

Dans la classe 5B, avec M. Philippe nous avons conçu du mobilier modulable et des bancs autour et dans la pergola. Notre classe est très organisée, sportive et créative. On aime beaucoup le dessin ! Aussi nous sommes une classe « verte » qui se préoccupe, entre autres du recyclage de nos masques.   

Dans notre classe 6B, nous souhaitions apporter de la verdure dans notre cour d’école et dans l’aménagement. Nous avons conçu les jardinières et sélectionné les plantes. Notre classe est drôle, déterminée et nous aimons la nature, l’art, et des projets spéciaux.

Notre parcours

Ce qui a nous a inspiré est les photos de différents projets, en particulier les projets réalisés dans les années passées. Aussi, la marche que nous avons faite dans le quartier était inspirante.  

Nous avons adoré faire des modèles et dessiner des motifs pour le toit en plexiglas.  

Nous avons trouvé difficile de devoir considérer tous les besoins des élèves de tous les âges, en plus des normes de sécurité. Par exemple, il a fallu réfléchir à comment les petits enfants de maternelle et de 1ère année interagiront avec le projet, en particulier en ce qui concerne les plantes; il y avait autrefois des plantes grimpantes sur le terrain de l'école, mais les petits les ont arrachées! Pour relever ce défi, nous avons décidé de rendre les jardinières hautes afin que les petits enfants ne puissent pas facilement accéder aux plantes.

École primaire Le Carignan

Ombrage coloré
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 6e année des classes de Indianna Bonilla, Sabrina Preti et Bachir Amrani, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Sarah Ouellet.

Ombrage coloré

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Le Carignan
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Démarche exemplaire
NOTRE CONTEXTE

Nous sommes des élèves de trois classes de 6e année du primaire de l’école Le Carignan, à Montréal Nord, participants au projet. Avec Fusion Jeunesse, on a observé notre cour d’école et on a pu trouver deux problématiques. La première problématique est qu’il manque d’ombre dans notre cour. La deuxième est qu’il manque de couleurs. Donc, nous allons faire une structure pour régler ces deux problèmes. Cette structure a un toit avec plusieurs dessins colorés. Notre structure répond à la problématique, car le toit va créer de l’ombre et de la couleur.

NOTRE PROJET

Après avoir choisi la problématique, qui est le manque d’ombre dans la cour, nous avons réfléchi à plusieurs options différentes pour régler ce problème. Nous avons pensé à faire une cabane fermée et même à construire plusieurs parasols en tissus. Finalement, nous avons décidé de faire une structure inspirée d’une pergola. C’est une structure faite de bois et d’un toit en plexiglas. Nous avons aussi dessiné une grande murale qui sera collée sur le toit. Avec notre structure, les élèves pourront se reposer à l’abri du soleil. Aussi, grâce à notre murale, la cour d’école sera encore plus belle.

NOTRE PARCOURS

L’une de nos activités préférées est lorsque nous avons fait l’idéation du projet. En équipes, nous avons dû réfléchir à une solution à notre problématique (le manque d’ombre dans la cour d’école). Nous avons ensuite réalisé des dessins et fait des petites présentations orales. Nous avons beaucoup aimé cette activité, car elle nous a permis de montrer aux autres notre personnalité à travers nos idées. Après avoir fait cette activité, nous avons regardé plusieurs images d’inspiration sur internet. En regardant ces images, nous avons pu combiner les inspirations à nos idées initiales et c’est comme ça que nous avons créé notre projet.

École primaire Ludger-Duvernay

Ludg’Oasis
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 5e et 6e année des classes de Marie-Claire Déry et Kamila Bourenane, ainsi que de Lorraine Forget et Julie Bouchard, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Ariane Viens-Désautels.

Ludg’Oasis

3
  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Ludger-Duvernay
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire des Patriotes (CSSP)
  • RégionRegionMontérégie
  • CohorteCohort2020-2021
  • Coup de coeur de Steve Potvin
NOTRE CONTEXTE

Le projet est fait par les élèves de l’école Ludger-Duvernay, située à Saint-Henri. Les deux classes qui participent au projet sont les groupes 51, 53 et 63. Puisqu’il n’y a pas assez d’espace dans la cour d’école pour s’asseoir, nous devons nous adapter à cette problématique.  

NOTRE PROJET

Le projet a débuté en 2019 et cette année nous continuons ce projet en proposant des améliorations. Des idées d’améliorations étaient par exemple de mettre des treillis en arrière des bancs et avoir un emplacement de style salon extérieur. La version finale de Ludg’Oasis contient trois double-poufs, deux bancs et quatre bacs de plantation avec des pneus. Les couleurs choisies sont le bleu, le jaune, l’orange et le vert. Le projet va changer l’école en permettant aux élèves et au public d’avoir un coin où s’asseoir et se reposer.  

Notre parcours 

Pendant l’année, nous avons fait plusieurs ateliers et nous avons remonté plusieurs défis. Nous avons appris à dessiner des objets à la bonne échelle.  

Nous avons travaillé fort pour comprendre la matière et avons réussi à dessiner des meubles de la classe de manière proportionnée. Aussi, nous avons construit des bancs en spaghetti. C’était un défi que nous avons réussi à relever en étant délicats et en assemblant les pâtes avec beaucoup de pâte à modeler.   

L’atelier favori du groupe a été les ateliers de tissage, car nous avons été créatifs pour proposer différents motifs uniques. Nous avons ensuite fait le tissage de dessus de bancs, pour fabriquer des poufs.   

École primaire Marguerite-Bourgeoys

Le préau aux mille lumières
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 5e et 6e année des classes de Karine Dessureault, Isabelle Pedneault, Stéphanie Blanchette et Marie-Claude Gagnon-Hamel, accompagnés par leur coordonnateur de projet Félix Préfontaine.

Le préau aux mille lumières

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Marguerite-Bourgeoys
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de la Capitale (CSSC)
  • RégionRegionCapitale-Nationale
  • CohorteCohort2020-2021
  • Sensibilité au contexte
Notre contexte

Nous sommes une école merveilleuse au cœur du quartier Saint-Sauveur, en basse-ville de Québec : l’école Marguerite-Bourgeoys. Elle accueille un grand total de 19 classes et 290 élèves qui ont besoin d’être stimulés et qui souhaitent se dépasser. Nous sommes un groupe de 19 élèves de 5e année et nous avions besoin d’avancer plus vite dans nos apprentissages. Nous avons donc eu l’idée de faire ce projet de réaménagement de notre cour d’école pour nous garder motivés en cette année un peu ennuyeuse.  

Notre école a deux cours : la cour des petits, magnifique, avec ses deux modules de jeux, une grande toile d’araignée pour grimper, une dizaine de balançoires et beaucoup de verdure… et il y a la cour des grands. À part des bancs ronds, un terrain de soccer synthétique mal situé et deux paniers de basket, il n’y a pas beaucoup de choses pour s’y amuser. En plus, elle est complètement asphaltée et sombre. On pourrait même dire qu’elle est un peu lugubre sous le préau.  

Il manquait donc cruellement de verdure, de lumière sous le préau et de places pour s’asseoir et discuter. Nous avons donc décidé de l’améliorer au meilleur de nos capacités de designers en herbe ! 

Notre projet

Au début de ce projet, les idées que nous avions étaient un peu extravagantes. Notre coordonnateur Félix nous avait demandé de nommer toutes les idées que nous avions, aussi farfelues qu’elles puissent être. Certains rêvaient d’un trampoline, d’une piscine, d’un parcours à obstacles et de jeux gonflables. Par la suite, nous avons identifié plusieurs problématiques, puis nous avons réfléchi à des solutions pour rendre notre cour plus agréable. Cela nous a fait nous recentrer sur un projet d’aménagement plus réaliste.  

Notre cour était un peu fade et assez grise malgré les petits bancs de couleurs et les motifs peints sur les colonnes de béton supportant le préau. Afin de rendre l’espace lounge plus accueillant et lumineux, nous avons pensé à accrocher des guirlandes de lumière sur les grillages qui l’entourent. De plus, nous avons décidé d’aider mère nature à se développer dans notre cour, en créant des jolis bacs à fleurs avec des pneus peints de différentes couleurs. Enfin, notre cour manquait aussi d’espace pour s’amuser simplement. Dans notre espace de jeu, il y a plusieurs espaces pour faire des jeux de ballons, comme le ballon-chasseur, le soccer ou encore le basketball, mais peu d’espace pour courir, sauter, rire, jouer ou encore discuter. C’est pour cela que nous avions décidé de mettre quelques balançoires ainsi qu’un petit parcours à obstacles, lui aussi fait de pneus.  

NOTRE PARCOURS

Au début du mois d’avril, nous avons basculé en école à distance, et nous avons dû continuer les ateliers en visioconférence sur Teams. C’est difficile de rester motivés et de se concentrer. Le projet avançait moins vite que prévu. Pour nous, les élèves, demeurer devant l’ordinateur pendant plusieurs heures pour discuter de l’aménagement souhaité, ce n’était pas évident. Nous en avons discuté avec nos enseignantes et nous avons trouvé des pistes de solutions ensemble. Nous avons donc raccourci les périodes en ligne tous ensemble, mais de notre côté, nous devions nous préparer et réaliser quelques travaux avant les rencontres.   

Vers le mois de février, on avait déjà hâte de commencer la construction, mais il fallait attendre le retour du beau temps. On a donc décidé de faire des semis à l’intérieur afin de tester différentes sortes de plantes pour les bacs à fleurs. On a bien aimé cet atelier, car on a pu mettre la main à la pâte et faire avancer le projet de manière plus concrète. On était tous contents de voir nos pousses de pois et de marguerites germer et grandir au fil des semaines ! Ça nous a redonné de la motivation. 

Pour la conception des aménagements, les photos que Félix nous a montrées ont été une source d’inspiration. Nous avons regardé des images d’autres cours d’école pour nous inspirer. Certains avaient utilisé, comme nous, des pneus recyclés. Cela a fait fleurir des belles idées dans notre esprit. C’est de la que sont venues les idées de parcours, des bancs, des balançoires, etc. Aussi, l’idée de réutiliser des pneus est vraiment bonne puisque c’est écologique et simple à entretenir.  

École primaire Montcalm

La galaxie des planètes !
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 4e année des classes de Lindita Profkta, Pintilie Nicu et Guilia Lato, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Glenda Barrios.

La galaxie des planètes !

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Montcalm
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Design Innovant
Notre contexte

Nous sommes trois classes d’étudiants de 3e année du primaire à l’école Montcalm à Saint-Michel. Notre école a très peu d’espaces pour jouer et pour s’amuser durant la récréation. Essentiellement, dans la cour du 2e cycle, l’espace est restreint, le terrain est croche et les feuilles s’accumulent souvent au bord de la clôture. Pour ces raisons, nous proposons un parcours de rêves construit avec des pneus récupérés, puisque nous sommes fascinés par le recyclage. Nous imaginons notre projet comme une construction faite de bagues en 3D, comme une galaxie Montcalm avec des planètes jamais connues ou comme un mini-parc qui relie tous les rêves de tous les élèves. Notre projet prend plusieurs formes selon l’imagination de chaque étudiant. Ce parcours embellit la cour avec des couleurs vives. Les pneus se transforment en bancs ou en tables et nous pouvons courir, nous asseoir, discuter et manger dessus.   

Notre projet

Au début, nos avons eu des idées très fantastiques et chaque classe avait un sujet préféré en particulier, comme le parcours sportif, la maison de rêves et le parcours planète. Nous voulions créer un monstre du recyclage qui mange la poubelle de l’école et la transforme en objets. Nous voulions aussi créer une maison avec plusieurs étages pour faire différentes activités. Nous avons aussi pensé créer un parcours avec des obstacles en laser, un immense mur d’escalade et des glissades très hautes. Petit à petit, nous avons simplifié nos idées pour créer un projet qui va changer notre école. Il sera beau et agréable à voir et les élèves vont avoir l’opportunité de jouer de plusieurs façons.

NOTRE PARCOURS

Nous avons eu de la misère à changer nos idées du départ pour des idées réalistes. Grâce à notre coordonnatrice Glenda, nous avons compris comment transformer les objets et l’espace de façon simple. Nous nous sommes inspirés des autres parcs qui utilisent les pneus comme des balançoires, des tunnels ou des montagnes pour réaliser le projet. Les couleurs vives nous rappellent aussi l’été, le soleil et les fleurs.  

Nous avons eu plusieurs ateliers préférés. Nous avons beaucoup aimé l’atelier de peinture où nous avons fait une toile entre les trois classes. Nous avons aussi imaginé que nous étions des astronautes de la galaxie Montcalm qui visitent de nouvelles planètes avec des habitants étranges. Un autre atelier que nous avons apprécié a été lorsque nous sommes sortis dans la cour pour dessiner le plan et prendre les dimensions, ainsi que l’atelier de maquette où nous avons créé notre projet en 3D.  

École primaire Philippe-Labarre

La Playa del Bibitte : un bled pour les insectes !
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 5e et 6e année des classes de Lyne Rousseau et Julie Beaulac, accompagnés par leur coordonnateur de projet Gabriel Asselin. Nous tenons également à souligner l'implication de Marie-B Pasquier, de la firme Foliaison pour ses conseils judicieux.

La Playa del Bibitte : un bled pour les insectes !

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Philippe-Labarre
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Sensibilité au contexte
Notre contexte

Nous sommes deux classes de l’école Philippe-Labarre, une de 5e et l’autre de 6e année, qui participent au projet de design environnemental de Fusion Jeunesse. Dans notre école, il y aura bientôt la construction d’une classe extérieure. Elle sera construite cet été dans un espace vide sur le côté de l’école. 

Nous avons déjà imaginé comment il serait possible pour nos enseignantes de faire la classe dehors à l’air pur. Nous savons que l’environnement est quelque chose de précieux que nous devons le protéger dans le futur. Nous avons appris que tous les élèves de l’école partagent leurs environnements avec les autres êtres vivants de la nature, mais nous, les humains, avons la responsabilité de comprendre et de préserver le vivant.  

Il y a plusieurs êtres vivants qui partagent la cour d’école avec nous : les arbres, les plantes, les petits animaux et les insectes ! Notre but est de profiter de la classe extérieure pour apprendre et pour partager cet endroit avec la nature, c’est pourquoi notre projet de design Fusion Jeunesse est celui de construire des maisons pour les plantes et les insectes. 

NOTRE PROJET

Notre idée de projet devait être liée à la classe extérieure qui sera bientôt construite et nous avions imaginé des choses amusantes pour les animaux, comme une piscine en forme de cœur pour se baigner ou même un centre commercial pour insectes ! Mais ils ne vivent pas comme nous les humains et ils ont d’autres besoins. Nous avons donc appris ce dont les plantes avaient besoin pour bien vivre. Si les plantes sont vivantes, elles offrent un habitat pour plusieurs autres espèces d’animaux et d’insectes. C’est pourquoi il était important de faire un projet pour les plantes d’abord, et l’idée d’un mur végétal était la meilleure pour cela. Ensuite, nous avons imaginé un abri pour aider les insectes à s’installer et vivre dans la cour. Nous avons donc imaginé des formes d’Hôtel à insectes intéressantes. Nous voulons que ce soit un beau projet pour nous, à montrer à toute l’école, mais aussi un bon projet pour les animaux !  

Notre parcours

Nous avons dû faire des choix en groupe pour réaliser notre projet. Souvent, il a fallu être démocratique et voter tous ensemble pour choisir ou bien il a fallu faire des concessions. Un grand défi a été d’imaginer quelque chose qui était réaliste et qui pouvait être dans la classe extérieure. Comme cette classe n’est pas encore construite, il fallait imaginer un projet qui se transporte facilement. C’est pourquoi il fallait faire des choix réalistes. Un autre défi a été d’apprendre à partager les tâches et faire des compromis. Nous avons bien réussi !  

Un atelier très amusant a été celui du jeu Amoung Us. Nous avons imaginé un jeu qui s’inspire de ce jeu vidéo Amoung Us, mais en version recyclage. Il fallait trouver les intrus dans les matières recyclables. Tout le monde a pu y jouer et cela a demandé de la coopération. Ce fut beaucoup de plaisir pour chacun !  

Il y a eu aussi un atelier de construction de neige dehors. Nous avons construit la future classe extérieure en neige et cela nous a permis de nous organiser en groupe et de comprendre combien d’espace nous avions besoin.  

École primaire Saint-Louis-de-Gonzague

Vert le social
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 6e année des classes de Mme. Marie-Émilie Gagné et Metzi Boily-Ortega, accompagnés par leur coordonnateur de projet Jérémy Lachance-Tremblay.

Vert le social

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Saint-Louis-de-Gonzague
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Pouce vert
Notre contexte

Nous sommes les deux classes de 6e année de l’école Saint-Louis-de-Gonzague. Nous faisons preuve d’écoute et d’une belle collaboration lorsque nous travaillons ensemble et cela nous aide beaucoup à mettre notre talent au service de notre communauté scolaire.  

Notre école, c’est l’endroit où nous réalisons une grande variété de projets scientifiques et créatifs. Elle nous permet de développer de nouvelles habiletés et intérêts en plus de côtoyer des gens gentils qui rendent l’atmosphère plus joyeuse ! 

En ce moment, notre cour d’école est très vide et banale en plus de n’avoir qu’un seul banc qui fait la convoitise de tous. Il est important pour nous d’avoir un endroit où nous pouvons nous asseoir confortablement sans nous salir. 

Notre projet

De la cabane à deux étages avec des lumières et des divans jusqu’à la plateforme dans les arbres avec une Tyrolienne, des idées folles nous en avons eu. Une chance que nos enseignants et Jérémy, notre coordonnateur, étaient parmi nous pour nous diriger vers des objectifs réalisables parce que nous aurions probablement terminé avec une Bat cave. Dommage... 

Nous voulons rendre notre cour d’école plus attrayante. Pour y arriver, nous avons créé un mobilier composé de banc et de plantes afin de créer des espaces intimes pour que les élèves puissent relaxer à l’ombre. 

Même si nous sommes à l’école toute la journée, c’est important de pouvoir s’asseoir avec des ami(e)s pour socialiser ensemble. En plus, cela va permettre de rajouter du nouveau dans la cour de l’école. Celle-ci sera alors plus accueillante et vivante que lorsque nous y sommes arrivés la première fois

Notre parcours

Ce qui a été le plus dur fut d’apprendre que nous ne pouvions pas réaliser notre projet de sentier d’hébertisme après plusieurs mois de travail dessus. Nous étions très déçus, mais non moins motivés à aller jusqu’au bout. Pour y arriver, nous avons utilisé tous nos acquis et nos efforts afin de créer un legs dont nous sommes fières. 

Nous trouvions que notre cour d’école était décevante et l’on aimerait qu’elle soit plus attrayante pour ceux qui y seront après nous. Utiliser notre empathie c’est ce qui nous a le plus inspirés à prendre le meilleur des idées de tous afin de créer un projet à notre saveur. 

L’atelier de maquette a été un moment marquant pour nous, car à ce moment tous nos idées et nos dessins ont pu prendre vie en trois dimensions devant nous. En plus d’avoir relevé plusieurs défis, cela nous a beaucoup aidés à imaginer de quoi le projet aurait l’air dans la cour d’école. La cerise sur le sundae fut de présenter le tout aux plus jeunes de l’école. Voir leur réaction face aux maquettes nous a apporté beaucoup de fierté.  

École primaire Saint-Simon Apôtre

L’Éco terrasse
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 5e année des classes de Cassandre Arès, Amélie Thauvette et Caroline Éthier , accompagnés par leur coordonnatrice de projet Lola Savarit. Nous tenons également à souligner l'implication de Raphaël Dairon, collaborateur dans le cadre du concours Unir la relève.

L’Éco terrasse

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Saint-Simon Apôtre
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Pouce Vert
NOTRE CONTEXTE

Nous sommes trois classes de cinquième année de l’école Saint-Simon-Apôtre, située dans le quartier Saint-Simon de l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville. Nous sommes débordants d’énergie et avons le futur de notre école à cœur. Nous sommes passionnés de mangas, mais également de nature. Les premières semaines nous ont servi à l’analyse de l’environnement. Nous avons ciblé différentes problématiques se trouvant dans la cour, particulièrement dans la zone 6 (la cour a été divisée en zones pour éviter les contacts physiques dus à la pandémie). Dans cette zone, nous manquons d’assise. C’est une des seules zones où nous ne pouvons pas nous asseoir. De plus, cette zone est en partie en terre et, avec notre climat, elle est souvent impraticable, car la terre se transforme en boue et nous ne pouvons plus jouer.

Notre projet

Au début, nous avons eu plein d’idées folles et cela nous ressemble bien. Une piscine ? Et pourquoi pas ? Mais, apparemment, nous avons un budget à respecter donc notre coordonnatrice Lola nous a vite réorienté.  

Si nous devions décrire notre projet, nous dirions que c’est une terrasse qui va nous permettre d’avoir enfin les pieds au sec sur notre banc de terre. On a même pensé à l’éventualité de faire la classe à l’extérieur durant la belle saison et toute l’école est ravie. 

Il y aura des bacs à fleurs qui vont nous permettre de planter toute sorte de légumes et fines herbes. En plus, nous avons la chance d’avoir gagné le concours Unir la relève et Raphaël, un graphiste muraliste, va venir peindre la terrasse. Nous avons choisi une thématique de gros fruits et légumes en style manga. Il y aura enfin un peu de couleurs chez nous !  

Notre parcours

La pandémie nous a parfois empêchés de pouvoir partager nos expériences avec le reste de la communauté. Nous nous sommes inspirés de différent style de terrasse et de parcours de jardins de style japonais. Au début, nous voulions faire une terrasse avec des trous pour pouvoir planter des plantes ou des arbres au travers, mais cela aurait pu être dangereux pour les plus petits de l’école. Nous avons particulièrement aimé faire les semis pour notre potager, car c’est une activité dont nous nous occupons encore tous les jours.

École primaire Sans-frontière (Québec)

Espace de Fusion Naturelle
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 4e année de la classe de Simon Tardif, accompagnés par leur coordonnateur de projet Lounès Félicin. Nous tenons également à souligner l'implication de M. Pierre-Paul, artiste menuisier pour son aide à la réalisation du mobilier.

Espace de Fusion Naturelle

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Sans-frontière (Québec)
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de la Capitale (CSSC)
  • RégionRegionCapitale-Nationale
  • CohorteCohort2020-2021
  • Coup de coeur de Julia Thibault
NOTRE CONTEXTE 

L’École Sans Frontière est dynamique, vivante et vibrante. L’école se caractérise par la richesse de sa diversité culturelle, où tous les enfants, québécois et allophones, montrent au quotidien les avantages d’un vivre ensemble respectueux de la différence.

Notre classe de quatrième année est très heureuse cette année de faire un projet en design environnemental. Notre classe compte 16 élèves, 8 garçons et 8 filles. Notre école est située dans le quartier Vanier à Québec. Nous avons la chance d’avoir une très grande cour que nous partageons avec les élèves de l’école Boudreau. Notre cour est également un parc municipal public et est utilisée par les citoyens et citoyennes de notre quartier en dehors des heures d’école.

En analysant l’environnement de notre école au début de l’année, nous avons identifié plusieurs problématiques. Il y en a une qui a principalement retenu notre attention : le manque d’espace de relaxation extérieur. Ce constat a été confirmé grâce aux réponses des autres élèves à travers notre consultation publique. 

Ainsi, nous avons décidé de réaliser un aménagement dans la cour de l’école qui inclura une classe extérieure. 

NOTRE PROJET

Dès la phase d’identification de la problématique, nous avons pris en compte les caractéristiques de notre cour d’école. Nous nous sommes posé la question : comment réussir à créer un aménagement qui sera utile à notre classe, aux autres élèves de l’école, aux élèves de l’école Boudreau et aux citoyens et citoyennes du quartier Vanier ? 

Ainsi, nous avons pris le temps d’explorer différentes options telles que le verdissement, la gestion des déchets, l’installation de nouveaux jeux. Finalement, nous avons décidé de poursuivre le projet en design environnemental des élèves de l’année dernière qui voulaient construire une classe extérieure et qui n’avait pas réussi à réaliser leur projet à cause de la pandémie. Toutefois, nous avons décidé de modifier le projet et d’ajouter d’autres aspects. 

L’espace de Fusion naturelle est en hommage au nom de notre école. Pour nous, Sans Frontière veut dire également une fusion naturelle entre les gens. Ça veut dire que nous sommes ensemble.  


C'est un projet de construction et d’aménagement à trois volets : la construction d’une classe extérieure, l’aménagement d’un espace de relaxation et l’installation d’un parcours de jeu. Cet aménagement est un espace d’apprentissage, d’expérimentation, de jeux, de détente et de récréation. Il répond à un besoin d’embellir davantage la cour de l’école pour qu’elle soit plus attractive pour les élèves. En plus, c’est un projet artistique et vert. 

Les objectifs du projet sont d’avoir des endroits de plus pour s’amuser, d’embellir la cour de l’école avec nos idées, d’être encore plus fiers de notre école et de développer une infrastructure qui servira à tout le quartier. Nous avons réussi à établir un partenariat avec un organisme communautaire du quartier, la Ruche Vanier. L’organisme nous offre en plus d’un soutien financier, du mobilier d’une ancienne place publique que nous installerons dans la cour. 

Nous sommes certains que la cour de notre école change de visage avec la réalisation de notre projet. Quoi de plus plaisant que de suivre son cours préféré dans une classe extérieure réalisée par les élèves de l’école ?  

Notre parcours 

Les élèves de notre classe ont une panoplie de compétences et s’intéressent à de nombreux sujets. Chacun d’entre nous apporte notre propre couleur aux différents ateliers que nous avons eus. Une des forces de notre groupe est la participation aux ateliers. Nous avons eu des ateliers très diversifiés malgré qu’on ait dû nous adapter en raison des mesures sanitaires. Généralement, nous avons une présentation préparée par notre coordonnateur Lounès. Nous faisions une activité brise-glace, parlions de notre semaine, de ce que nous faisions, etc.

Nous aimons particulièrement les ateliers où nous devons faire des choix. Par exemple, lorsque nous avons dû choisir quel projet réaliser parmi les nombreuses idées que nous avons fournies ou encore pour choisir le nom de notre projet. Pour nous, c’est un bel exercice de participation et de démocratie. Nous exprimons nos idées, nos accords, nos désaccords, nous renforçons les idées des autres et nous votons pour choisir et nous acceptons le choix de la majorité.

À plusieurs reprises, nous avons eu à faire ce type d’exercice démocratique et nous sommes toujours ravis de nous exprimer. Avec l’accompagnement de notre professeur, Monsieur Simon et Lounès, nous sommes toujours contents d’exercer la démocratie en classe. 

École primaire St-Gabriel

The Sweet Safe Space
A project proudly realized by the grade 4 and 5 students of Andrea Truffa's class, guided by their project coordinator Chantal Ménard. A special thank you to Patrick Blanchette and Jessica Santos Bouffard, from Blanchette Architectes, for their creativity through the Uniting the Next Generation collaboration.

The Sweet Safe Space

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire St-Gabriel
  • Centre de servicesSchool authorityEnglish Montreal School Board (EMSB)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Coup de coeur de Brent Stewart
Our context

 We are a class of 7 grade 5 and grade 6 students from St. Gabriel Elementary School in Pointe-Saint-Charles. Our “Transitions” class is made for students who do not fit into a regular class setting. We enjoy project-based learning with a lot of hands-on activities. St. Gabriel is a small and safe school in a lower income, urban area with a lot of parks.  

When analyzing our environment, we found that we have many issues in our school yard. These include not having enough shade, no places to sit, a lot of trash and uneven concrete. We decided to tackle the issue of not enough shade for this project. Having shade will allow us to create a safe space for kids to sit and be with their friends, away from the sun. We planned to solve this problem in our Junior yard, since it is not an inviting space and has the most sun. 

OUR PROJECT

At the beginning of our project, we had a lot of crazy ideas. These included creating a treehouse with stairs and windows, a tent and a structure shaped like a racecar. A lot of our ideas were also not appropriate for a kid’s space. This included having fancy centrepieces and the use of fairy lights when the students aren’t there at night.  

In the end, we decided to build a pergola, which is a structure that provides shade, in our Junior yard. This would have places to sit for the kids, away from the sun. We are making this pergola out of wood, because it is easier to use and safer than other materials.  

Right now, most students sit on the stairs near the doors to the school where the shade is and often get hit by these doors. So, this project will change our school by creating both a shaded and safe space for us to be with our friends. This project will also create a more inviting space and make our yard more pretty. It will also add a multi-purpose space to our yard, where we can play with their friends, eat, relax and more! 

OUR JOURNEY

 At the beginning of the project, we had a lot of difficulties working together as a team. Everyone had their own ideas and wanted their idea to be chosen for the project. At the same time, it was hard to brainstorm ideas and we were scared to share our thoughts with a new person in the classroom. Over time, we got to know each other and Ms. Chantal, and we became more comfortable working together.  

We were inspired by old Youth Fusion projects that we have seen around the area. We were also inspired by the students’ ideas from last year’s project, before the pandemic closed the schools. Our class is also super interested in building things. So, after seeing all these cool designs and projects that have come to life, we really wanted to design and build our own! 

We had a lot of favourite workshops over the year with Ms. Chantal. We really enjoyed making the surveys and going around to other classes during the public consultation process. It was nice to talk to other students and get their input. We also loved building the benches as a team. We got to learn how to use different tools and work together. This was a new experience for us and we really enjoyed it. We also liked making the scale model. Everyone had their own task and it worked out really well.  

École primaire Victor-Rousselot

L’arbrakadabra
Un projet fièrement réalisé par les élèves de 4e année de la classe de Mme Aïcha Bentouati, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Émilie Brown.

L’arbrakadabra

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  • ÉcoleSchoolÉcole primaire Victor-Rousselot
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Ouverture à la communauté
Notre contexte

Nous sommes des élèves de 3e et 4e année de la classe d’accueil A34 à l’école Victor-Rousselot, situé tout près du marché Atwater. Nous aimons la nature et les arbres nous fascinent. Nous voulions conjuguer art et culture afin d’égayer notre cours. C’est pourquoi nous allons créer une sculpture d’arbre, qui pourra changer de décorations avec les saisons. Nous allons également construire un bac de plantation pour le plaisir de faire pousser nos plantes.

Notre projet

Au début de notre projet, nous avions beaucoup d’idées  : construire une table pour jouer à des jeux de société dans la cour, fabriquer un jeu d’équilibre, construire un castelet ou même planter un arbre fruitier. Finalement, nous avons choisi de construire un bac de plantation et y inclure une sculpture symbolisant l’arbre fruitier.

NOTRE PARCOURS 

Le premier défi a été de s’ajuster à la suite de notre consultation publique pour trouver l’élément du projet qui plairait au plus grand nombre. Puis, suite à un remue-méninge, les idées se sont ordonnées. Ensuite nous avons créé des prototypes en carton pour tester nos idées. Lors d’une sortie pour s’initier à l’observation et pour découvrir notre quartier, nous avons adoré reconnaître certaines plantes aromatiques chez un marchand au Marché Atwater. Nous avons donc adoré notre découverte du quartier et sommes motivés à jardiner un petit coin de la cour. 

École secondaire Jeanne-Mance

Dîner fleuri de Jeanne-Mance
Un projet fièrement réalisé par les élèves de FPT1 de la classe de Mme Corhinne Roy et Bruno Larouche, accompagnés par leur coordonnateur de projet Édouard Gendron.

Dîner fleuri de Jeanne-Mance

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  • ÉcoleSchoolÉcole secondaire Jeanne-Mance
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Coup de coeur de Jennifer Nehme
Notre contexte 

Nous sommes une classe de formation préparatoire au travail de niveau 1. Nous sommes des jeunes dynamiques qui aiment les activités plus concrètes. Nous débordons d’idées et de curiosité et nous aimons découvrir des solutions en atelier. 

Notre école ressemble à un gros bloc de béton dans le paysage, nous voulons améliorer les espaces extérieurs et embellir l’école. Il est important pour nous de chercher à inclure de la végétation dans le quartier. 

Il n’y a pas d’espace pour s’asseoir et manger dehors durant les pauses, en plus de n’avoir que très peu de bacs de plantation.

NOTRE PROJET

Nous avions eu l’idée au départ de construire une structure comme pergola. Nous avions aussi parlé de jeux extérieurs ou d’activités ludiques. Cependant, c’est notre consultation publique qui nous a poussés à laisser ces idées de côtés pour produire plus de mobilier afin d’embellir le paysage de Jeanne-Mance le plus possible. 

Nous sommes en train de faire des tables à pique-nique très farfelues ! Le dessus de ces tables est fait de plaques de béton terrazzo très colorées. Il y a aussi, de chaque côté, des bacs de plantation remplaçant les pieds de la table. Notre design est simple et massif pour s’agencer à l’architecture brutaliste de l’école.  

Notre projet va embellir l’école. De plus, en créant un espace extérieur public, nous allons inviter le quartier à entrer sur le terrain. Le projet embellira aussi la vie des étudiants, puisqu’ils pourront profiter de leurs pauses à l’extérieur. 

Notre parcours 

Un défi particulièrement difficile que nous avons rencontré a été les mesures sanitaires du COVID-19, puisque nous avons dû faire des séances de projet à distance. Cependant, nous avons toujours été vigilants et avons organisé des séances à distance, bien que ce n’était pas nécessairement facile. Nous avons aussi dû longtemps attendre pour l’approbation du projet et nous avions hâte de commencer !  

Notre coordonnateur Édouard nous a aidés à trouver des idées ainsi qu’à définir notre projet. Nous avons beaucoup d’imagination, nous voulions aussi promouvoir le recyclage et la réutilisation de matériaux pour notre terrazzo. Finalement, nous voulions intégrer le plus de végétation et de nature possible au projet.  

Nous avons particulièrement aimé la phase de tests de coulage de terrazzo, puisque nous avons inventé un matériel et appris à le mettre en forme.  

La création de maquettes était plaisante, puisque nous avions la liberté de réaliser toutes nos idées loufoques. Nous avons aussi beaucoup apprécié l’idée de faire partie d’un projet concret ou nous réalisons de vraies choses. 

École secondaire Le Vitrail

Voir la vie en vert
Un projet fièrement réalisé par les élèves de premier et deuxième cycle, ainsi que de secondaire 3 des classes de Anouska Therrien, Marie Noël, Évelyne Perrault et Philippe Savard, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Marie-Ellen Houde. Nous tenons également à souligner l'implication de Charles Laurence, architecte chez NOS Architecture, collaborateur dans le cadre du concours Unir la relève.

Voir la vie en vert

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  • ÉcoleSchoolÉcole secondaire Le Vitrail
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Design innovant
NOTRE CONTEXTE

Nous sommes des élèves des classes bleue et verte de 2e et 3e cycle du primaire et de secondaire 3 à l’école Le Vitrail. Notre école est une école alternative primaire et secondaire située dans le quartier Rosemont. La communauté est très diversifiée, et le fait d’être plusieurs groupes d’âge différents dans le processus de conception nous a permis de donner une voix aux vastes besoins de la communauté. Au cours de notre analyse environnementale, nous avons constaté que la cour de récréation avait besoin de plus de verdure et d’espaces calmes. Cela nous permettrait de pratiquer différentes activités comme la lecture, les cours à l’extérieur et le temps passé avec des amis dans un environnement relaxant. Nous avons choisi de construire une classe en plein air parce que nous voulons encourager l’apprentissage à l’extérieur et à travers des projets amusants comme l’entretien du jardin. 

Nous avons également collaboré avec NOS, un studio d’architecture de Montréal, qui nous a aidés à développer des formes uniques et créatives pour notre projet ! 

NOTRE PROJET

Parmi les idées folles qui ont surgi au début du projet, citons une piscine sur le toit, un skate park, une cabane et un jardin sous-marin. Ces idées nous ont aidés à comprendre ce que nous attendions de notre espace et, à partir de là, nous avons pu adapter certains aspects intéressants pour les rendre plus réalistes. Nous voulions également nous assurer que l’espace répondrait aux besoins des différents membres de la communauté de notre école. Ainsi, un espace extérieur calme garantirait qu’il serait utilisé par des étudiants du primaire et du secondaire, des enseignants et le personnel de l’école.  

Nous avons finalement décidé de construire une salle de classe extérieure avec des couvertures de toit et un mur végétal pour créer de l’ombre et donner vie à la cour d’école. Cela va nous permettre de suivre des cours en plein air et de travailler dans un environnement plus ouvert. Nous sommes également heureux de pouvoir apprendre en prenant soin du jardin et en observant la biodiversité qui vient nous rendre visite.

NOTRE PARCOURS

Notre défi était surtout de rassembler les idées de tout le monde pour faire une structure qui convient à tous. Le choix du site a constitué un autre défi. La cour de l’école étant principalement utilisée par les élèves du primaire, nous voulions explorer la cour d’avant pour créer un espace plus calme. Par ailleurs, les règlements de construction nous obligeant à ne pas construire à moins de 5 m du bâtiment, nous avons dû nous adapter et utiliser un autre espace. Finalement, nous avons décidé de transformer une structure existante en un espace plus calme afin qu’il puisse être accueillant pour les différents groupes d’âge de l’école.  

Inspirés par d’autres exemples de classes en plein air et de jardins publics, nous avons pensé qu’il serait intéressant d’inclure des plantes et un jardin dans l’espace. Cela nous permettrait de créer une ombre naturelle et un point d’apprentissage à l’extérieur. Nous avons rapidement constaté que nous devions adapter les exemples précédents à notre contexte unique. Cela nous a conduits à développer des formes uniques de bancs et de toits qui suivent la forme de la plate-forme existante, mais aussi à incorporer un mur vert pour créer de l’ombre grâce aux plantes.  

Notre partie préférée du projet a été le moment où les idées ont commencé à se matérialiser et à prendre forme. 

École secondaire Louis-Joseph-Papineau

contemplART
Un projet fièrement réalisé par les élèves de secondaire 3 de la classe de Myllene Caeatano, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Flavie Legendre. Nous tenons également à souligner l'implication de Maxime Prévots, artiste invité et la collaboration de Marc-André Larouche, designer de service, dans le cadre du concours Unir la relève.

contemplART

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  • ÉcoleSchoolÉcole secondaire Louis-Joseph-Papineau
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Coup de coeur d'Amélie Roy et Dodo Ose
NOTRE CONTEXTE

Notre groupe est en secondaire 3, au programme d’enrichi à l’école Louis-Joseph Papineau, dans le quartier Saint-Michel. Notre groupe est très créatif, nous adorons l’art et nous sommes assez sensibles au vandalisme. 

Notre école est très grande à l’intérieur comme à l’extérieur, vivante et remplie de diversité, comme le quartier ! Par contre, la cour est un peu triste et majoritairement asphaltée. Il y a très peu de meubles à l’extérieur sur le terrain de l’école et ces derniers sont très abîmés et souvent vandalisés, même brûlés ! 

Le site que nous avons choisi est celui qui se trouve sous la bibliothèque surélevée par des colonnes en béton. Il y a déjà des bancs et des aménagements construits dans le passé, mais ils ont été beaucoup abîmés et vandalisés. Une murale a également été commencée, il y a quelques années, mais elle n’est pas finie et elle manque de dynamisme. 

C’est d’ailleurs une des problématiques que nous avons observée en début d’année. Le site est sombre, sale et mal entretenu. C’est plus un lieu de passage qu’un endroit où on a envie de s’installer pour relaxer ou jaser avec des amis. Il y a plein de déchets au sol et les meubles sont tous cassés. 

Le but de notre projet est d’offrir un espace de détente aux élèves de l’école, mais ce n’est pas tout ! Nous voulons aussi sensibiliser les gens afin qu’ils ne détruisent pas notre travail comme ils l’ont fait par le passé et essayer de réduire le vandalisme.

NOTRE PROJET

Notre groupe étant très créatif, nous avons eu beaucoup d’idées de grandeurs ! Nous avions parlé de faire des balançoires, des bancs avec des formes complexes, comme des blocs lego, une murale, ajouter des lumières et même des fontaines d’eau. 

Au final, nous nous sommes arrêtés sur 3 bancs en béton, en forme d’hexagone, qui seront construits autour des colonnes de soutien de la bibliothèque. Nous avons aussi décidé de restaurer les meubles qui y sont déjà et de les repositionner et, pour compléter le tout, faire une murale. 

Nous voulons créer un espace de détente et de contemplation agréable pour tous et rendre la cour plus jolie pour donner envie d’y passer du temps. 


Pour ce qui est de la question du vandalisme, nous avons réfléchi à une manière de faire rayonner notre projet et de lui donner de la visibilité. Nous aimerions donc informer les gens que l’aménagement du site est fait par des élèves de l’école et dissuader les gens de détruire le projet. Pour ce faire, nous voulons créer des affiches et les positionner sur notre site et autour du terrain de l’école. 

Le tout est très ambitieux, si nous ne sommes pas capables de tout compléter cette année, le projet pourrait devenir un projet évolutif où plusieurs groupes pourront ajouter au projet dans les années qui vont suivre. Le projet pourra ainsi continuer à vivre et évoluer au fil des ans. 

Notre parcours

La pandémie et les cours en ligne ont été un gros défi cette année. Les cours à distance sont très différents des cours en présentiel et il est difficile de rester motivé. C’est aussi difficile de voir concrètement l’avancement du projet. 

Nous avons eu pas mal de changement aussi en cours de route. Le projet a beaucoup évolué, nous avons dû faire face à plusieurs revirements de situation, entre autres à cause de travaux qui s’organisent sur le terrain et la façade de l’école. Nous avons fait preuve de résilience, de flexibilité et de créativité pour surmonter nos embûches et grâce à Flavie, nous sommes restés organisés. 

Au cours de l’année, nous avons fait plusieurs ateliers super fun et intéressants ! Nous avons fait des modèles 3D grâce à SketchUp, expérimenté avec le béton pour faire de petits pots à fleurs ou des bougeoirs, en pratique pour nos bancs. Mais les cours où nous allons dehors travailler sur la peinture de la murale, le sablage et la réparation des bancs sont les plus amusants. Nous voyons instantanément l’amélioration et le fruit de notre travail et c’est motivant de le montrer à nos amis après ! 

Nous avons puisé de l’inspiration un peu partout. Voir le travail des autres qui sont très talentueux est inspirant et motivant et nous pousse à vouloir en faire autant. 

École secondaire Saint-Henri

Saint-Henri Fleuri
Un projet fièrement réalisé par les élèves de FPT1 de la classe de Mme Andrée-Anne Duchesne, accompagnés par leur coordonnatrice de projet Lindsey Weller. Nous tenons également à souligner l'implication de Mr. Jacques, maître de l'atelier de bois et Marie-Pier Gauthier Manes en tant que mentore.

Saint-Henri Fleuri

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  • ÉcoleSchoolÉcole secondaire Saint-Henri
  • Centre de servicesSchool authorityCentre de services scolaire de Montréal (CSSDM)
  • RégionRegionMontréal
  • CohorteCohort2020-2021
  • Pouce Vert
NOTRE CONTEXTE

Nous sommes une classe de formation préparatoire au travail de l’école secondaire Saint-Henri, située évidemment dans le quartier Saint-Henri ! Notre école est au cœur du quartier où l’on trouve, entre autres, la station de métro Saint-Henri, plusieurs magasins et restaurants ainsi que des bâtiments historiques.  

NOTRE PROJET

Notre classe a fait un long voyage de découvertes ! Nous avons commencé l’année en travaillant sur le choix d’un site extérieur pour notre projet. Nous avons trouvé plusieurs zones manquant de couleur et nous voulions ajouter des arbres en fleurs. Cependant, des chantiers entourant l’école nous ont obligés à déplacer notre projet à l’intérieur. 

Nous avons tout de suite pensé à travailler dans le couloir. Il est fait en béton et est complètement vide, ce qui crée beaucoup d’écho. 

Puisque le couloir est situé directement à côté de notre salle de classe, nous avons choisi ce site pour créer une extension de notre classe, en ajoutant plus de sièges et d’espaces pour travailler. Nous avons aussi décidé de créer un mur végétal vivant pour ajouter de la couleur et de l’intérêt au couloir. L’ajout de sièges en bois et de nombreuses plantes absorbera le son et diminuera l’écho ! 

Aussi, on trouve les portes d’entrée pour l’auditorium de l’école dans ce couloir. Notre projet offre donc un magnifique coin aménagé pour les parents et autres invités venant voir des spectacles.  

NOTRE PARCOURS

Au début de l’année, notre coordonnatrice Lindsey nous a demandé de créer un logo pour représenter notre groupe, comme font toutes bonnes firmes de design ! Tout le monde a créé un dessin et nous avons voté pour le logo gagnant. Maintenant que nous construisons, Lindsey a invité une artiste locale à travailler avec nous en classe. Elle nous a aidés à peindre le logo en couleur sur des grandes formes géométriques. 

Le plus grand défi auquel nous avons été confrontés a été de devoir changer complètement notre site de l’extérieur vers l’intérieur. Nous avons également eu du mal à décider quoi faire pour notre murale, et nous avons estimé que cela prendrait trop de temps. Par contre, les exercices de dessin que nous avons faits pour la murale ont été l’un de nos ateliers préférés ! Nous avons été inspirés à créer un motif géométrique, ajoutant beaucoup de couleur.

Nous sommes aussi très intéressés et avons hâte de voir comment le système d’irrigation automatique permettra aux plantes de pousser sur notre mur végétal. Ce mur permettra aux autres élèves de s’engager à la continuité du projet et apprendre sur les murs végétaux et la pousse des plantes à l’intérieur.  

Nouveau-Brunswick

Garden Creek Elementary School

Creeker Camp
A project proudly realized by the grades 3, 4 and 5 students of Mme Greenwell, Mme McLeod and Mr Brunett, guided by their project coordinator Fiona Hamilton.

Creeker Camp

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  • ÉcoleSchoolGarden Creek Elementary School
  • Centre de servicesSchool authorityAnglophone West School District
  • RégionRegionNouveau-Brunswick
  • CohorteCohort2020-2021
  • Prix du Public
  • Sensibilité au contexte
Our context

We are a combination of three classrooms made up of grades 3, 4 and 5 students at Garden Creek Elementary School in Fredericton, New Brunswick. Our school is located just outside the downtown area, and we are lucky enough to have a forest and creek area on the boundary of our school yard. We really enjoy spending time outdoors around our school! We wanted to have an area where we could have an outdoor classroom space where we could be surrounded by nature.

OUR PROJECT

At the beginning of our project, we had some crazy ideas that ranged from a zip line through the trees, big slides through the woods and elevated tree houses. Our coordinator Fiona and our teachers helped us build models of our ideas, and work through what kinds of designs we might be able to develop for our school yard. In the end, we choose to create a flexible seating space. It could be used as a stage for outdoor presentations, as a learning space, and as a cool place to relax and play during recess. We hope that our design will provide a different kind of space for students to learn outdoors. 

Our journey

We started planning for our project in January, and because of the pandemic we only were able to meet with Fiona virtually from our classrooms. Thankfully, Fiona was able to start joining our classrooms in the spring to help us prepare for building and constructing our project. 

We are very involved with gardening and learning outdoors. We were inspired by other school’s outdoor gardens and classrooms to develop an idea that could combine our love of learning and the outdoors that would work well with our school.  

Our favourite workshop was the model building session. We really enjoyed it because we were able to visualize what our ideas could look like in 3d rather than just on paper or in our imagination.

Jury


Brent stewart

Goguen Architecture

B.Sc., B.E.D.S., MArch, AANB, LEED BD+C

Brent’s role as General Manager and lead project architect for Goguen Architecture requires working with highly skilled teams of architects, engineers and technicians to oversee the successful completion of multiple concurrent building projects.  Our projects includes a wide variety of buildings such as schools, seniors care facilities, apartment buildings, hotels and offices.

There is always a very complex relationship between our projects and the environment. We attempt to integrate ecologically and culturally sensitive measures into our design by reducing impact on the natural environment while enhancing the presence of our buildings on the landscape. We strive to choose sites wisely, capitalize on existing infrastructure and reduce the demand that our buildings place on resources.


PATRICIA LETARTE

Fondation Grand Montréal

Chargée de projet, Relations dans les Communautés à la Fondation du Grand Montréal. Patricia a une formation universitaire en Gestion et en Responsabilité Sociale des Organisations. Elle occupait auparavant le poste de Conseillère Principale en Impact Social au sein du siège social du Cirque du Soleil, pour travailler en relations dans les communautés et soutenir l’utilisation des arts et de la créativité comme outil d’intervention sociale. 


SIENA CATHERINE BLIER

Leader MTL + Participante 2019-2020

Étudiante au programme Honours Pure and Applied Science au collège Vanier. Siena, ancienne participante au projet Fusion Jeunesse de Design environnemental à l'école Laurenhill, a un désir d'apprendre qui la démarque. Elle fut d'ailleurs récipiendaire d'une bourse LEADER MTL, en 2019, pour encourager et soutenir la poursuite d' études supérieures. 

Jennifer nehme

RBC

Directrice de comptes Senior, Marchés commerciaux, Professionnels de la santé.

MARC-ANDRÉ CARIGNAN
AU PAYS DU BONHEUR

Auteur, animateur et chroniqueur d'expérience, Marc-André Carignan est un pilier du milieu médiatique de l'architecture, l'architecture de paysage et du design urbain. Son livre ''Les écoles qu'il nous faut'' justifie l'importance de repenser nos milieux scolaires.

Steve Potvin
Stantec

Directeur de secteur, Architecture de paysage et Urbanisme chez Stantec. Steve est un passionné de l’histoire des grandes civilisations occidentales et du développement des grandes villes nord-américaines. C’est cette passion qui l’a motivé à travailler dans les domaines de l’urbanisme et de l’architecture depuis plus de 15 ans. 

Julia Thibault
Atelier Pierre Thibault

Architecte chez Atelier Pierre Thibault. Julia a complété un stage en architecture à Madrid, juste avant de se diriger vers un stage en design industriel. Ayant complété sa maitrise en architecture, elle s'exécute dans la profession avec une approche multi-échelle, s'intéressant à la conception de mobilier jusqu'à celle de mini maison. 

AMÉLIE ROY-FORTIN ET DODO OSE
ASHOP PRODUCTION

Amélie occupe le poste de directrice du développement des affaires et des partenariats à ASHOP Production. Diplômée de communications et spécialiste des communication marketing et de publicités, Amélie entame sa troisième année au sein de ASHOP, une agence montréalaise de réputation internationale dans le domaine de l'art urbain. 

Artiste muraliste Lyonnais désormais installé au Canada, Dodo s'inspire de l'ambiance artistique montréalaise pour créer son propre univers. Dodo Ose cherche constamment à innover, autant dans la technique que dans les sujets abordés. En jouant avec le symbolisme et les archétypes universels, l’artiste concocte des paysages oniriques et surréalistes qui fusionnent le figuratif à l’imaginaire. 

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